La plus-value immobilière est un critère important pour déterminer la valeur d’un bien immobilier. Elle correspond à la différence entre le prix de vente et le prix d’achat du bien.
Il faut savoir que ce calcul est très complexe, car il prend en compte de nombreux critères : l’emplacement du bien, sa surface, son état général, les travaux effectués… Pour vous aider à calculer la plus-value immobilière, nous allons voir comment faire.
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Comprendre les lois et réglementations sur la plus-value immobilière
La plus-value immobilière est la différence entre le prix d’achat et le prix de vente d’un bien immobilier.
Les lois et les réglementations sur la plus-value immobilière sont très complexes. Pour en comprendre les tenants et aboutissants, il est important de connaître les principaux éléments à prendre en compte.
Les règles relatives à l’imposition des plus-values immobilières sont fixées par une loi du 18 janvier 2013. Cette législation a fortement modifié la fiscalité applicable aux particuliers ayant réalisé un gain lors de la cession de biens immobiliers. En effet, depuis cette date, tout particulier qui vend un bien immobilier doit payer un impôt sur sa plus-value (appelée « taxation ») au moment de son dépôt chez le notaire.
L’administration fiscale a pris pour habitude d’imposer ce type d’impôt sur le revenu au nom du principe « pas de bénéfice sans risque » (« pas de gain sans perte »). Depuis 2013, les personnes physiques peuvent opter pour une taxation forfaitaire ou une taxation au barème progressif si elles remplissent certaines conditions (voir encadré ci-dessous).
Déterminer le prix de revente pour un terrain
La plus-value immobilière est la différence entre le prix de vente et le prix d’achat.
Il s’agit donc du bénéfice réalisé par un particulier ou une société lors de la revente d’un bien immobilier.
La plus-value immobilière est soumise à des règles fiscales, mais aussi juridiques. Pour pouvoir déterminer son prix de revente, il faut prendre en compte plusieurs facteurs : Le type de terrain que vous souhaitez revendre (résidentiel, commercial ou industriel) ; Le lieu géographique du terrain (dans une zone urbaine ou rurale) ; La superficie du terrain en question ; L’état actuel du terrain ; Les équipements existants sur le terrain ; Les travaux à réaliser pour valoriser votre terrain.
Savoir comment déclarer la plus-value
Une plus-value immobilière est un gain réalisé lors de la vente d’un bien immobilier, suite à une augmentation de sa valeur.
Lorsque vous vendez un bien immobilier, il existe une plus-value qui n’est pas imposable si elle respecte certaines conditions. Ce gain dû à l’augmentation de la valeur du bien depuis quelques années peut être déclaré sous forme de plus-value immobilière et sera donc exonérée des impôts. Cependant, les avantages fiscaux ne sont pas les seuls critères à prendre en compte pour tout investissement immobilier.
Il faut aussi tenir compte du prix d’acquisition du logement et du coût des travaux effectués entre le moment où vous avez acquis votre logement et celui où vous le revendez.
Le taux de rendement est égal au rapport entre les revenus locatifs perçus et le coût global d’achat (prix d’achat + frais).
Il faut également prendre en considération le montant des charges supportées par l’investisseur, telles que les intérêts d’emprunt, les frais liés aux travaux effectués sur le bien immobilier, etc… Par ailleurs, pour pouvoir déclarer une plus-value immobilière, il faut que votre logement soit affecté à une activité professionnelle.
S’informer sur les taux et seuils de plus-values immobilières
Si vous souhaitez vendre votre logement dans un avenir proche, sachez que le marché de l’immobilier est très actif et que vous pouvez espérer réaliser une plus-value. Pour cela, il faut savoir calculer les différents éléments qui composent la plus-value immobilière.
Le calcul de la plus-value immobilière est assez complexe, car cette dernière dépend de nombreux critères.
Les taux d’intérêt sont également à prendre en compte, car ils influent sur le prix du bien et donc sur la plus-value immobilière. Cependant, selon les cas, ce taux peut être intégré au calcul ou rester individuel. Enfin, il faut tenir compte des seuils imposés par l’administration fiscale pour fixer le montant de la plus-value imposable.
Il n’est pas rare de voir des personnes payer des impôts sur une plus-value dont elles ne sont même pas propriétaires ! Pour éviter cela, il convient donc d’en savoir un minimum avant de faire estimer sa maison ou son appartement par un agent immobilier.
Il existe quatre types de taux pour établir le calcul d’une plus value immobilière : Les taux nominatifs : Ce type de taux correspond aux loyers pratiqués sur le marché local à une date donnée (à titre indicatif).
Les taux locatifs départementaux : Ce type de taux correspond aux loyers pratiqués sur le marché local à une date donnée (à titre indicatif).
Les taux préfectoraux : Ce type de taux correspond aux loyers pratiqués sur le marché local à une date donnée (à titre indicatif).
Comment déterminer le coût fiscal et le niveau de taxation des plus-values immobilières
Si vous envisagez d’investir dans l’immobilier, il est important de bien comprendre la fiscalité des plus-values immobilières. En effet, il existe différents types de plus-values immobilières, qui sont soumises à des règles fiscales spécifiques.
Comprendre les conséquences d’une plus-value immobilière sur le plan fiscal
La plus-value immobilière est une somme d’argent qui provient de la vente d’un bien immobilier. Cette somme peut être utilisée pour l’achat d’un autre bien, ou bien encore réinvestie sur un nouveau projet.
La plus-value immobilière permet donc de créer une valeur ajoutée à partir d’un capital existant. Elle implique généralement un gain important, ce qui suscite souvent des questions sur le plan fiscal. Un gain important implique également des risques et des incertitudes importants, ce qui peut être source de stress et de dépression chez les personnes concernées.
Il faut garder à l’esprit que la réussite financière repose essentiellement sur la maîtrise du risque et la gestion de celui-ci en toute sérénité.
Lorsqu’on parle de plus-value immobilière, on se focalise généralement sur les gains issus de la vente d’un bien immobilier après 10 ans d’occupation (ce qui correspond à « la durée normale » du droit commun).
La plus-value sera alors imposable au taux forfaitaire unique (TFA) actuellement fixé à 19 % depuis le 1er janvier 2018 (taux applicable aux cessions effectuées jusqu’au 31 décembre 2017).
Le TFA est appliqué automatiquement par l’Administration fiscale : il ne faut pas faire de déclaration spécifique ni remplir aucune annexe particulière si on procède à une cession immobilière en Belgique.
La plus-value immobilière est une cession d’un bien immobilier qui a augmenté de sa valeur (par exemple un terrain + valeur du bien construit ou réhabilité sur le terrain) par rapport à son prix d’acquisition (prix du terrain seul).